LES 100 Ciels – Hotel à Saint-Hubert |
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Alors que je suis invitée à une séance de dédicaces pour un we à Arlon, le soir venu, je cherche un lieu où passer la nuit. Sur Arlon et les environs proches, tout semble être complet. Et soudain, un nom attire mon attention, fait « mouche » : LES 100 CIELS … que demander de mieux pour bercer ma nuit de doux rêves ??? Ni une, ni deux, trois heures après ma réservation en ligne, je suis sur place.
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Pour arriver à LES 100 CIELS, je quitte la route principale et m’aventure dans la grande forêt de Saint-Hubert. Le brouillard nocturne m’empêche d’admirer toute la beauté de la nature environnante pour mon plus grand désespoir.
Les portes de LES 100 CIELS franchies, je suis accueillie par une bonne odeur de cuisine qui me met l’eau à la bouche. Je me dirige vers la salle de restaurant où règne une ambiance chaleureuse. La salle n’est pas immense mais c’est justement ce qui fait tout son caractère convivial. Par les grandes baies vitrées, j’ai une vue imprenable sur l’aérodrome. Les patrons, Nathalie Longchamp et Adrien Gilot, un jeune couple charmant, m’accueillent avec courtoisie.
J’ai tout particulièrement apprécié que Nathalie Longchamp m’accompagne jusqu’à ma chambre. La pièce est agréable et le lit est confortable. La salle de douche bien que petite est commode. Seuls deux bémols au tableau, les toilettes communes dans le couloir et la mauvaise couverture Wi-Fi. La chambre que j’occupe est composée de lits jumeaux, un bureau, une télévision écran plat et un placard. La simplicité et les dimensions m’enveloppent tel un cocon où je sens tout de suite à l’aise, comme chez moi. Le lendemain matin, après avoir changé d’avis, je décide de prendre un petit-déjeuner gargantuesque. Je suis comme une gamine devant la vitrine d’un confiseur et je me régale de chaque bouchée avalée. Je remercie Nathalie Longchamp et Adrien Gilot qui ont rendu mon bref séjour agréable. Je me réjouis à l’avance de mon prochain passage à LES 100 CIELS. Je vous recommande vivement ce lieu dont voici toutes les infos pratiques : LES 100 CIELS 5 rue de l’Aérodrome – 6870 Saint-Hubert 061-21 60 68 ou 0479-83 62 73 © Mannuella Iseni
www.funambule-des-mots.com
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Jean-Luc Fonck est le cadet de trois enfants, il a deux sœurs. De père en fils, depuis le grand-père, on est boulanger chez les Fonck. Jean-Luc vit à Arlon jusque l’âge de douze ans puis débarque à Bruxelles où il rencontre Mimi sur les bancs d’une école bruxelloise. Mimi et Jean-Luc font les quatre cents coups, elle pousse un peu la chansonnette et lui essaie tant bien que mal de jouer de la guitare.
« Tout a commencé par une blague, tout s’est poursuivi par une blague. Je ne savais ni chanter, ni lire une partition ». C’est en 1975 que Sttellla naît officiellement avec des potes de l’école (ils sont parfois neuf sur scène). « À nos débuts, on jouait pour une poignée de fans. À la fin, on donnait des concerts devant six mille personnes ». Il a acquis depuis une certaine maîtrise de l’art de l’humour.
C’est le contrat avec le label français « Boucherie Productions » qui fera de Sttellla une valeur sûre des festivals. Entre 1975 et 1993, le groupe donne plus de cinq cents concerts en Belgique, en France et au Québec.
Fin 1993, la rupture avec Mimi entraîne la fin de Sttellla sous forme de duo, et c’est en 1995 que Jean-Luc Fonck entame en Suisse sa première tournée en solo, puis plus tard accompagné d’un groupe, une tournée de deux ans et cent cinquante concerts qui ont réuni au total cent vingt mille personnes.
En 1996, Jean-Luc Fonck a permis la reformation1 du groupe belge Machiavel, lors des Francofolies de Spa (lors de l’événement « la fête à Jean-Luc Fonck de STTELLLA ») et conjointement à la sortie de leur Best-Of. En 1998, il participe au single Le bal des gueux d’Alec Mansion au profit de l’Opération Thermo, qui distribue des repas pour les vagabonds, dans les gares. Cette chanson est interprétée par trente-huit artistes et personnalités dont Toots Thielemans, Stéphane Steeman, Marylène, Armelle, Jacques Bredael, Lou, Alec Mansion, Muriel Dacq, les frères Taloche, Morgane, Nathalie Pâque, Frédéric Etherlinck, Richard Ruben, Christian Vidal, Marc Herman, Jeff Bodart, Jean-Luc Fonck, Benny B et Daddy K.
L’écrivain
En 2003, Jean-Luc Fonck publie les Histoires à délire debout, chez Casterman, dans la collection « C’est pour offrir » dirigée par son ami Philippe Geluck. Ces histoires sont de petites nouvelles, empreintes de poésie et teintées d’un onirisme qui se veut évoquer le monde du dessinateur Fred. Il déclare dans une interview : « Je ne sais pas chanter. Avant que les gens ne s’en rendent compte, je vais me recycler dans un autre truc que je ne sais pas faire, écrire »
En 2004 et en 2006 paraissent deux autres volumes des histoires à délire debout (Nouvelles histoires à délire debout et Histoires à délire debout, tome 3 : prochaines histoires à délire debout). Il signera également, en 2007, Le Contrat ; et, en janvier 2011, aux éditions Luc Pire, Histoires allumées 2.
Jean-Luc Fonck fut également membre de l’équipe du Jeu des dictionnaires ainsi que de la défunte émission La Télé infernale.
Tous les mardis, il a une chronique dans l’émission le 8/9 sur Vivacité, une radio de la RTBF.
Filmographie
Récompenses
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2014 : Octave d’honneur aux octaves de la musique
Référence bio sur Wikipédia
Question interview Jidé :
Que pensez du dessin ?
Et que trouvez vous aussi de positif en province du luxembourg ?
Jean-Luc Fonck
Pour répondre à tes deux questions :
1. j’adore
2. les super caricaturistes
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