John Famalaro : il conservait sa victime dans son congélateur (Cold Storage Killer / Ice Box Killer)
OÙ EST DENISE ?
Les Huber sont surpris à leur réveil, ce 3 juin 1991, quand ils constatent que le lit de leur fille n’est pas défait et qu’elle n’est, semble-t-il, jamais rentrée. Dennis et Ione supposent alors qu’elle a découché chez une amie et collègue de travail. Mais leur inquiétude se renforce le soir venu, lorsqu’ils prennent conscience que leur fille n’a donné aucun signe de vie de la journée.
Denise Huber est une jolie jeune femme de 23 ans, passionnée de littérature et de voyages. Fraîchement diplômée en sciences sociales, elle est récemment revenue vivre à son domicile familial de Newport Beach, avec son frère cadet et ses parents. Elle vient justement de trouver un job dans un restaurant local, la Old Spaghetti Factory, où elle est employée en tant que serveuse.
La veille au soir, il était convenu que la jeune Californienne irait voir le rockeur britannique Morrissey avec un ami. C’est vêtue d’une robe noire pour l’occasion que ce 2 juin, Denise monte dans sa Honda pour prendre la route sous la chaleur écrasante de la côte ouest. Après le concert, les deux compères finissent la soirée autour de quelques bières sur Long Beach, avant que Denise ne ramène son ami chez lui, comme convenu. Il ignore alors qu’il va devenir la dernière personne à l’avoir vue vivante.
UNE DISPARITION PRÉOCCUPANTE
Une amie proche de la famille, contactée par les Huber, décide de refaire le trajet que Denise a dû emprunter la veille pour rentrer chez elle. Vers 22h elle tombe sur son véhicule. A l’arrêt, comme figé sur le bord de l’autoroute 73, il n’est pas verrouillé. L’un des pneus arrière est crevé, la batterie semble déchargée et les clefs ne sont pas sur le contact. Une paire de collants gît sur le siège passager et il n’y a aucun signe de la propriétaire ni même de son sac à main. Face à ces constations inquiétantes, la victime présumée est recherchée le soir-même.
Un hélicoptère ainsi qu’une brigade cynophile sont dépêchées sur place. On réussit à identifier l’odeur de Denise à 75 mètres de sa voiture avant de perdre sa trace. L’entourage de la victime présumée est interrogé, des tests polygraphiques sont passés, les alibis sont vérifiés. L’emploi du temps de Denise est reconstitué et le témoignage des automobilistes ayant emprunté l’autoroute sont tous recueillis. Aucune de ces pistes n’est fructueuse, l’enquête s’enlise.
Les parents font tout leur possible pour obtenir une quelconque avancée. Émission télévisée, installation d’une bannière de 9 mètres sur le toit d’un immeuble surplombant la zone de la disparition, tous les moyens sont bons. Seulement, aucun élément ne permet une quelconque avancée, l’affaire est finalement classée. Il faudra attendre trois ans pour obtenir des réponses.
DÉCOUVERTE DU CORPS
Début juillet 1994, Jack Court et Elaine Canalia se rendent sur Cochise Drive à Prescott Valley, chez une nouvelle connaissance du nom de John Famalaro, pour lui acheter du matériel de peinture. Dans un coin du jardin, un camion de location Ryder semble attendre depuis un moment. La femme relève le numéro d’immatriculation et signale le véhicule à un ami agent de police. Après vérifications, il est établi que le véhicule a effectivement été déclaré volé six mois plus tôt par l’entreprise.
Le 12 juillet suivant, l’agent se rend chez Famalaro et remarque la présence de nombreux produits chimiques à l’extérieur du véhicule de près de 7 mètres ainsi que d’une rallonge électrique, reliée à la deuxième propriété du terrain, une petit maison adjacente occupée par la mère du propriétaire des lieux. Il émet directement des suspicions concernant un laboratoire de psychotropes mobile.
Le lendemain, plusieurs policiers du comté de Yavapai sont dépêchés avec un mandat de perquisition. Sur place, il n’y a personne. Ils ouvrent directement le camion et tombent sur un congélateur fermé, scellé avec un cadenas et recouvert de scotch. A l’intérieur, des sacs poubelle en plastique noir et une odeur nauséabonde. Une masse sombre qui ressemble à du sang congelé tapisse le fond, tranchant avec la couleur blanche du bac. Le plastique est rapidement découpé, laissant entrevoir de la peau humaine. Le corps nu d’une jeune femme adulte, en position fœtale, les mains menottées dans le dos, apparaît clairement.
UNE AUTOPSIE CONCLUANTE
Anne Bucholtz, médecin légiste en charge du dossier, commence par décongeler la victime à l’aide d’un sèche-cheveux avant de la libérer de son entrave au coupe-boulons. Des analyses vaginales et rectales mettront en avant la présence de spermatozoïdes dégradés. Le visage est intégralement recouvert de scotch, la bouche et les yeux maintenus fermés. Une boule de tissu tachée de sang, utilisée comme bâillon, obstrue encore la gorge de l’inconnue.
La victime est décédée suite à un traumatisme crânien. Elle a reçu plus d’une trentaine de coups à la tête, l’arme semblant être un marteau. Les coups portés ont été si violents que des morceaux de plastique sont retrouvés incrustés dans l’os du crâne. Les sacs qui recouvraient sa tête ont été disposés, refermés et fermement serrés avant que la victime ne subisse les coups, ce qui démontre clairement l’intention de l’auteur de minimiser les éclaboussures de sang mais établit aussi, sans l’ombre d’un doute, la conscience de ses actes. On finit par identifier la jeune femme de 23 ans grâce à ses empreintes digitales.
INVESTIGATIONS
Les enquêteurs investissent le domicile du suspect et y découvrent de nombreux éléments probants. Sur une étagère dans le garage, les agents trouvent des cartons contenant des sacs noirs, semblables à ceux utilisés pour le corps. Plusieurs objets appartenant à Denise comme son chéquier, ses clés de voiture, son rouge à lèvres ou encore les vêtements qu’elle portait le soir de sa disparition sont retrouvés. Les chaussures présentent de grosses éraflures à l’arrière des deux talons, comme si celle qui les portait avait été traînée.
On met également la main sur un marteau d’environ 35 cm, taché de sang. La boîte vide des menottes utilisées pour attacher les mains de Denise ainsi que le rouleau de scotch, dont l’extrémité correspond à la déchirure d’un des morceaux trouvés sur le visage de la victime, sont identifiés. Les clefs des menottes sont rangées dans un tiroir de bureau et celles du cadenas utilisé pour sceller le congélateur sont quant à elles à l’intérieur du camion volé. Des articles de journaux sur la disparition de Denise et un enregistrement d’une émission dans laquelle apparaissaient les Huber sont identifiés. On a donc la certitude que John Famalaro avait entendu les appels à l’aide de la famille.
Enfin, on découvre une facture pour l’achat d’un congélateur de la marque Montgomery Ward, identique à celui du camion, qui a été commandé dans les jours suivant la disparition, courant juin 1991. Le congélateur avait été livré à un entrepôt de Laguna Hills qui semblait avoir été loué par l’accusé au moment des faits. La police se rend sur place et procède à des analyses. Malgré les travaux de rénovation, de nombreuses taches de sang apparaissent sous Luminol. Des tests complémentaires démontrent qu’il s’agit du sang de Denise Huber.
La mère du propriétaire des lieux niera avoir connaissance de la présence du congélateur. John, lui, refusera de parler sans la présence de son avocat. Il est immédiatement arrêté pour vol et pour meurtre.
THÈSES ENVISAGÉES
La police pense que Famalaro était à la recherche d’une victime lorsqu’il a croisé la route de Denise qui essayait de gérer la crevaison de son pneu. Il l’aurait certainement frappée avec un marteau avant de la traîner jusqu’à sa voiture, la menottant et la ramenant dans son entrepôt, où il l’a violée et tuée.
Huber ne semblait pas avoir de blessures défensives : il a donc également été théorisé qu’elle aurait initialement pu monter dans la voiture de Famalaro volontairement. Lors de la perquisition, on trouve deux uniformes d’adjoint du shérif de Los Angeles donc il semble envisageable qu’il se soit fait passer pour un homme de loi afin de rassurer et d’attirer la jeune femme dans son véhicule. Au procès, on a pu montrer que le taux d’alcoolémie de Denise correspondait à un léger état d’ébriété, un autre facteur qui aurait pu la rendre plus disposée à accepter sa proposition.
Famalaro savait, logiquement, que conduire dans la direction de son entrepôt ferait paniquer sa victime, Laguna Hills étant à l’opposé de Newport Beach, où la jeune serveuse vivait. Par conséquent, il aura dans tous les cas presque immédiatement rendu Denise inconsciente avant de, très probablement, la traîner de sa voiture à son unité de stockage, pour abuser d’elle, scotcher et emballer son visage, lui portant les derniers coups, ceux qui lui seront fatals.
SUSPECTÉ D’ÊTRE UN TUEUR EN SÉRIE
Denise Huber, qu’on retrouvera 3 ans après sa disparition menottée et congelée depuis tout ce temps, avait en réalité été sauvagement tuée dès le premier soir, durant la nuit du 2 au 3 juin 1991. Mais était-elle la première victime ?
On trouve des sacs à main et des cartes de sécurité sociale appartenant à d’autres femmes que Denise Huber chez John Famalaro, ce qui conduira les autorités à penser que la victime du congélateur n’était pas la seule. La perquisition permet de mettre en avant une cavité cachée au sous-sol, creusée par l’accusé. On a immédiatement pensé que s’il avait conservé le corps de Denise aussi longtemps, c’était dans l’intention de l’y enterrer, avec les preuves. Les autorités craignent de trouver d’autres restes humains. On fait donc appel à des chiens qui ne trouvent la trace d’aucun autre corps, mais la police reste convaincue d’avoir un récidiviste sur les bras.
Les enquêteurs chargés de l’affaire ont d’ailleurs pu entendre plusieurs victimes présumées, notamment des ex-conjointes. Plusieurs femmes ayant formellement identifié Famalaro sur photos témoignent d’expériences de séquestration, d’agressions, voire de tentative de meurtre par strangulation. Aucune autre victime de meurtre n’a cependant pu être confirmée à ce jour.
UN ENVIRONNEMENT FAMILIAL DYSFONCTIONNEL
John Joseph Famalaro né à Long Island en 1957, a grandi à Santa Ana, en Californie. Le cadet de la fratrie est décrit comme un jeune garçon maigre, discret et relativement efféminé. Peu intégré et présentant des difficultés scolaires, il subit de nombreuses intimidations de la part de ses camarades et sera renvoyé de l’école pour une raison que l’on ignore.
Après son arrestation, des révélations sur son enfance ont commencé à émerger. Contraint d’évoluer au sein d’un foyer dysfonctionnel et très conservateur, le jeune John se construit dans l’ombre de sa mère. Anna est dépeinte comme une femme au foyer dominante, violente et instable. Allant jusqu’à écouter leurs appels téléphoniques, récupérer leurs déchets dans la poubelle ou décider pour ses fils des femmes qu’ils pouvaient ou non fréquenter, la mère de famille contrôle chaque aspect de la vie de ses enfants, au point de les priver de toute intimité.
D’autre part, la matriarche s’inscrit dans un certain fanatisme religieux. En accord avec la vision extrêmement stricte du monde qui est la sienne, elle inculque à son fils que la sexualité est répugnante et sale. Ce qui aura pour effet de faire naître chez lui des difficultés dans le développement de ses relations et dans la régulation de sa libido.
Enfin, son frère aîné est reconnu coupable de pédophilie et condamné en 1980. John aurait été lui-même abusé sexuellement par son frère. Il n’avouera jamais.
PROFIL DE L’ACCUSÉ
Concernant le parcours universitaire et professionnel de Famalaro, on nous rapporte qu’il souhaitait initialement devenir chiropracteur. Il a étudié la discipline avant d’abandonner, ne se présentant pas à l’examen final. Il projette ensuite de devenir policier mais échoue et abandonne également. Il finit par se lancer en tant que peintre en bâtiment mais perd sa licence d’entrepreneur en raison de plusieurs manquements professionnels.
Globalement, ses ex-conquêtes décrivent un homme doté d’un bon sens de l’humour, intelligent, sensible, prévenant et poli, la plupart du temps. Les femmes entendues soulignent aussi l’aspect manipulateur, beau parleur et secret du personnage. Une description corroborée par les témoignages d’amis de la famille qui affirmeront que c’était une personne très solitaire et discrète. « Nous le voyions sortir le matin pour ramasser son courrier (…) son regard était toujours baissé. C’était un gros effort pour lui faire dire bonjour. Je ne peux pas dire que je suis surpris par tout cela » confiera un voisin.
Dans une dimension plus personnelle, on sait que l’avortement de l’une de ses compagnes le marquera profondément. Elle décidera finalement de mettre fin à leur relation en déclinant sa demande en mariage, tout en menant à terme sa deuxième grossesse. Une fois né, l’enfant est confié à l’adoption par sa volonté. Famalaro fermement opposé à cette décision espère pouvoir l’élever lui-même mais perd la bataille judiciaire pour la garde. La jeune femme quitte la Floride pour le Texas et le peintre n’a plus de nouvelles de l’enfant. Famalaro, dévasté, tombe en dépression suite à ces évènements. En parallèle, plusieurs ex-conjointes porteront de graves accusations à son encontre, dénonçant des faits d’agressions sexuelles.
Durant le procès, il est ressorti que l’accusé présentait de nombreuses séquelles émotionnelles et mentales mais aucun diagnostic psychiatrique n’a été rendu public. Le procureur adjoint Christopher Evans a cependant révélé quant au crime que le corps de Huber détenait cette valeur de « trophée », lui faisait revivre le crime.
UNE CONDAMNATION ATTENDUE
Le procès de John Famalaro, véritable événement médiatique, se tient durant l’été 1997 et durera six semaines. L’affaire donne même lieu à un livre policier, Cold Storage, écrit par Dan Lasseter. L’accusé plaide non coupable et la défense basera sa plaidoirie sur le fait que la victime ait suivi volontairement Famalaro. Début septembre, après seulement cinq heures de délibération, le Californien de quarante ans est reconnu coupable et est condamné à la peine capitale.
Une requête sera déposée. Les avocats de Famalaro font appel, clamant que leur client n’a pas bénéficié d’un procès équitable, en partie à cause de l’attention des médias et de la publicité préjudiciable qui auraient influencé les jurés. Le 8 juillet 2011, la Cour suprême de Californie confirme la peine. John Famalaro attend encore aujourd’hui son exécution dans la célèbre prison d’état de San Quentin.
Les Huber ont décidé, quant à eux, de déménager au Dakota pour tenter d’échapper aux douloureux souvenirs dont était imprégné leur domicile familial. C’est près d’eux, au cimetière Fairview à Herreid, dans la section 6, rangée 8 que repose maintenant leur fille. On a diagnostiqué un cancer à la mère de famille, pour lequel elle a dû subir de nombreuses opérations. Aujourd’hui les parents endeuillés s’expriment depuis leur maison sur la rive du Missouri : « Il mourra de vieillesse en prison » confie Dennis, résigné. « Et nous mourrons probablement avant lui », rétorque Ione.
On se retrouve dans « Portraits Criminels par Swen » tous les premiers vendredis du mois pour une nouvelle affaire. En attendant, vous pouvez accéder à différents dossiers criminels, sous la forme de vidéos documentaires, sur la chaîne Youtube : Swen True Crime.
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