Après une première partie assurée par Flexboy et SIXO, le public est déchainé et tous attendent l’homme au bandana, ZIAK.

Le concert s’ouvre sur son premier succès : « Raspoutine », et le public est en feu dès les premières notes de l’instrumentale. Ziak avance sur le devant de la scène, main en l’air, accueillant les premières réactions de
son public qui chante en chœur les paroles. Une soirée mouvementée rythmée au tempo des pogos et des morceaux drill de l’artiste.

Deux backeurs et une scénographie ultra sobre, il n’en faut pas plus à ZIAK pour alimenter une ambiance explosive, ambiance décuplée dans cette salle intimiste qu’est l’Atelier.

Avec son album ‘Akimbo’ et ses 19000 ventes en 1 semaine, le rappeur confirme qu’il est l’une des figures de la drill française.

Avec ce premier album, Ziak crée petit à petit son propre univers et ses différentes prises de risque sur ‘Akimbo’ confirment qu’il est un artiste unique et singulier.

Un rappeur masqué reconnaissable à la 1ere écoute.
Branche du rap, la drill se caractérise par une musique sombre à la rythmique plus rapide qui crée une sorte d’effet « dansant », et par des textes crus, violents, relatant parfois de faits divers réels, dont les
interprètes en seraient les auteurs.

Ziak devient très vite l’un des chefs de fil du mouvement en France.

Cette année 2023 commence fort pour ZIAK avec l’annonce de la sortie de son nouvel album le 24 février prochain.