Pas simple de s’appeler Violette avec un profil de baobab, paru aux éditions de l’Aube, est le premier roman de Martine Gengoux.
Originaire d’Herbeumont, elle y revient très souvent pour se balader en forêt, ouvrir sa maison à la famille et aux amis, rêvasser, tondre le gazon, lire, manger du « mitcho », cueillir des champignons et …écrire.
Martine Gengoux anime des ateliers d’écriture créative ouverts à tous à partir de 15 ans.
À partir de quelques éléments déclencheurs (photos, bouts de phrases, reproductions d’œuvres artistiques, textes d’auteurs, situations…), chacun(e) se connecte à son univers, l’écriture se met en mouvement et la page blanche ne le reste pas longtemps.
Elle a écrit des nouvelles publiées dans des revues et recueils, puis ce roman.
« La vie, c’est ce qui se passe quand tu avais prévu autre chose », disait John Lennon. Dans l’existence de Violette, il ne se passait rien et elle ne prévoyait que de suivre le chemin sur lequel elle était embarquée. Mais la vie se mêle parfois de dévier les parcours trop bien balisés.
C’est ce qu’annonce la quatrième de couverture du livre :
La cohabitation pacifique avec son cochon d’Inde, les puzzles de cinq mille pièces, sa collection de toupies et l’estime de ses patrons suffisaient à combler l’univers de Violette… jusqu’à ce que la blanchisserie qui l’employait soit amenée à fermer ses portes. Sa sœur saisit l’occasion pour l’inviter à venir rencontrer son nouveau fiancé. C’est sans enthousiasme que Violette accepte. À l’Hôtel de la plage que possède la famille de ce nouveau beau-frère, ce sont pourtant des rencontres peu banales qui l’attendent. Sur fond de rock des années soixante et de balades en side-car, la jeune femme est embarquée dans un tourbillon joyeusement foutraque.
Un deuxième roman sera publié aux mêmes éditions de l’Aube au printemps 2018.
Site : www.martinegengoux.be
Facebook : @martinegengouxecriture
0 commentaires